Si vous voyez un enfant, vous n’allez pas vous douter du fait qu’il soit dyspraxique. Il parait totalement normal, mais il vous suffira de voir sa façon d’écrire ou de lire pour constater ses difficultés.
L’invisibilité de la dyspraxie n’en fait pas un handicap moins important.
En somme, le dyspraxique ne fait rien d’une manière automatique, il doit penser aux tâches les plus simples et les planifier préalablement, au risque de se confronter à un problème dont il n’a pas les clés.
Il se sent obligé de fournir d’énormes efforts pour effectuer un geste, comme si c’était la première fois. Il s’en suit naturellement, une fatigue immense.
Ces enfants sont considérés à tort comme étant :
- fainéants, ce qui n’est pas du tout vrai ;
- Maladroits ;
- Malades mentaux ou souffrant d’un trouble psychologique.
Si cela vous intéresse, vous pouvez vous informer davantage sur le site : dyspraxie.fr.
La dyspraxie : comment aider un enfant dyspraxique ?
L’enfant dyspraxique a besoin d’une continuelle aide afin d’accomplir des tâches quotidiennes ou d’étudier. Il faut le présenter à une équipe pluridisciplinaire qui l’aidera à trouver des moyens d’apprentissage, il faut aussi en parler à son entourage afin qu’il soit compris et qu’il y ait des facilitations comme avoir un ordinateur en cours, pour qu’il puisse s’intégrer.